Comment créer un site web international

Dans cette étape, vous devez garder à l’esprit que le nom de domaine sera le représentant de votre marque en général, il est donc toujours recommandé d’y réfléchir.

Pensez à ce que les sites que vous connaissez déjà ont en commun… exactement, un nom court et unique, facile à épeler et à retenir.

Dans certains cas, un nom de domaine difficile à retenir ou à épeler peut faire fuir vos visiteurs. Par ailleurs, une fois que vous êtes satisfait de celui que vous avez trouvé, vous devez vérifier qu’il est disponible et l’enregistrer.

D’une part, nous avons le ccTLD, qui est considéré comme ayant encore un certain sens pour les langues communes à partir d’un pays où cette langue est parlée, comme la Russie, Israël et n’importe lequel des pays scandinaves. Ou en Amérique latine avec la Colombie, le Venezuela, le Chili, entre autres. Il s’agit d’une approche spécifique à un pays. Elle n’est donc pas fortement recommandée si l’entreprise souhaite avoir une approche globale avec un seul nom de domaine.

La deuxième possibilité est le sous-domaine, qui n’a jamais figuré sur la liste des éléments recommandés pour le référencement, car ses inconvénients l’emportent sur ses avantages. Leur point fort est la création d’instances de pays ou de langues spécifiques en direction des utilisateurs. Cette approche divise la puissance d’un site web en fonction de son sous-domaine et des langues qui sont construites vers le sous-domaine qui a été créé.

C’est ici que l’on trouve les sous-répertoires ou sous-dossiers. Du point de vue de la mise en œuvre, ils sont les plus faciles à utiliser puisqu’il s’agit simplement d’un autre dossier sur le site. Ceux-ci ont la capacité d’hériter de toute la valeur de la marque et du classement que possède le domaine racine. Le sous-dossier permet d’avoir le contenu sous un nom de domaine qui peut avoir la terminaison « .com » et le linkjuice de certains backlinks restera sous le nom de domaine principal international.